65 % des ménages belges touchés par des infections respiratoires l’année dernière[1]

En plus de la charge mentale, un foyer sur quatre perd régulièrement une partie de ses revenus en raison d’absences au travail

Bruxelles, 09/12/2024 - 65% des Belges ont contracté une infection respiratoire saisonnière ou ont eu un membre de leur foyer infecté au cours de l'année écoulée1. Pour deux Belges sur trois (63%), cette infection au sein du foyer a provoqué des soucis supplémentaires (2). ​ C'est ce qui ressort d'une étude récente analysant l’impact des infections respiratoires saisonnières sur les Belges. Au-delà de l’impact sur la charge mentale, une maladie au sein du foyer peut impacter l'ensemble de la vie quotidienne. Elle peut affecter les performances professionnelles, entraîner des absences au travail et, dans certains cas, induire des conséquences financières.

Chaque année, quand il fait plus froid, ils sont là : les virus et les bactéries qui infectent nos voies respiratoires et nous rendent malades pendant plusieurs jours. Ils causent grippe, bronchite, COVID-19, angine ou encore pneumonie. Une enquête a récemment examiné dans quelle mesure ces maladies affectent notre vie quotidienne. A noter que les simples rhumes n’ont pas été pris en compte dans l’enquête.

Plus d'un Belge sur deux ayant de jeunes enfants à la maison doit régulièrement ou toujours prendre des congés pour s'occuper de son enfant malade

65% des Belges ont contracté une infection respiratoire saisonnière ou ont eu un membre de leur famille infecté au cours de l'année écoulée1. Les infections les plus courantes étaient, selon leurs déclarations, des symptômes grippaux (56 %), le COVID-19 (41 %) et la grippe (35 %).3 Dans 63 % des foyers, les personnes interrogées ont indiqué que si un membre de la famille souffre d'une infection respiratoire saisonnière, l'infection est régulièrement ou toujours transmise à d'autres membres de la famille.4

 

Lorsqu'un mineur contracte une infection, c'est souvent un des parents qui garde l'enfant malade. Plus de la moitié (51%) des Belges ayant des enfants mineurs à la maison disent qu'ils restent toujours ou habituellement à la maison pour s'occuper de leur enfant malade.5 Un Belge sur trois (32%) compte sur les grands-parents pour s'occuper de l'enfant.6 Un Belge sur cinq (20%) s'adresse régulièrement à une organisation extérieure.7

Nous voyons des infections respiratoires tous les jours dans notre pratique. Il s'agit souvent d'infections banales qui disparaissent d'elles-mêmes, mais elles sont pénibles et très contagieuses.Rester à la maison et attendre que cela aille mieux reste le meilleur remède. L'enquête montre que ces infections ont également des conséquences secondaires, comme le fait que les parents doivent rester à la maison pour s'occuper d'un enfant malade. Cet impact financier et social ne doit pas être sous-estimé et mérite plus d'attention ». Dr Stefan Teughels, Directeur Médical de Domus Medica

 

 

Impact sur l'emploi dans 65% des foyers belges

Une infection au sein du foyer affecte également la vie professionnelle des Belges. 65 % d'entre eux déclarent qu’une maladie due à une infection respiratoire saisonnière a un impact sur leur travail ou celui de leur partenaire.8 Cet impact peut varier, allant de la baisse de productivité à l'arrêt de travail.

  • Au cours de l’année écoulée, dans un foyer sur trois, un des adultes en charge est resté à la maison pendant au moins l’équivalent d’une semaine en raison d'une infection respiratoire saisonnière (la sienne ou celle d’un membre de la famille). Dans un foyer sur dix (11 %), l’absence a dépassé les deux semaines.9 Il s'agit ici bien de la somme des jours d’absence pris respectivement par les membres adultes de la famille.
  • Ces absences ont un impact sur les finances des Belges.10 Plus d'un sur quatre (28%) perd régulièrement ou toujours une partie de ses revenus en cas d'absence pour cause de maladie.

En outre, quatre personnes sur dix (43 %) travaillent malgré le fait qu’elles souffrent d'une infection respiratoire saisonnière.11 Il peut s'agir de télétravail ou de travail en présentiel.

Trois Belges sur quatre consultent toujours ou habituellement un médecin généraliste en cas de symptômes

Trois Belges sur quatre (75 %) déclarent qu'ils consultent toujours ou habituellement un médecin généraliste en cas de symptômes d’infection respiratoire saisonnière. 12 L'enquête montre que les jeunes sont moins enclins à consulter un médecin généraliste : 20 % des 24-35 ans déclarent toujours consulter un médecin généraliste, alors que ce pourcentage atteint 36 % chez les 55-65 ans. 13 Les parents ayant de jeunes enfants malades à la maison sont encore plus susceptibles de toujours consulter un médecin généraliste pour leur enfant malade. Le pourcentage atteint alors 44 %.14

Le médecin généraliste reste le premier point de contact pour les patients souffrant d'infections des voies respiratoires. Les jeunes en bonne santé sont moins enclins à consulter un médecin, souvent parce qu'ils peuvent travailler à domicile et n'ont pas besoin d'un certificat de maladie. Les personnes âgées et les parents de jeunes enfants malades sont plus anxieux et prennent donc plus volontiers rendez-vous. Le certificat de maladie ou l'attestation de congé social pour un enfant malade est également une raison de consulter le médecin généraliste dans de nombreux cas.” Dr Stefan Teughels, Directeur Médical de Domus Medica

Pour aider à prévenir les infections respiratoires saisonnières, il est conseillé de suivre des règles d'hygiène, telles que se laver les mains, aérer régulièrement, maintenir une distance avec les autres ou porter un masque en cas d’infection. Il existe aussi des vaccins qui peuvent aider à se protéger contre certaines de ces maladies, comme la grippe, le COVID-19, le RSV ou encore la pneumonie à pneumocoque.

À propos de l'étude

L'enquête sur les maladies respiratoires a été réalisée entre le 30 octobre et le 7 novembre 2024 par le cabinet d'études de marché indépendant Buffl pour le compte de Pfizer. L'échantillon est de 1546 répondants avec une marge d'erreur de 3%, représentatif selon la langue, le sexe, l'âge, le niveau d'éducation et la composition de la famille. Les maladies respiratoires étudiées sont les symptômes grippaux, la grippe, le COVID-19, le VRS ou la bronchiolite, la bronchite et la pneumonie. Les « simples » rhumes n'ont pas été pris en compte. Par «foyer», nous entendons un groupe de personnes vivant sous le même toit.

Décembre 2024 - 240843

Références

1 Tableau 4, sans filtre, n=1546

2 Tableau 14b, n=1000. Somme des réponses "toujours (15%)" et "plutôt oui (48%)".

3 Tableau 5, n=1000. Note : la somme de toutes les réponses n'est pas de 100 %, car des réponses multiples étaient possibles. Par conséquent, certaines personnes ont pu souffrir de plusieurs maladies respiratoires au cours de l'année écoulée.

4 Tableau 10b, filtre Q2 = une seule personne exclue, n=849. Somme des réponses "toujours (6%)" et "généralement oui (57%)".

5 Tableau 6b, filtre Q2 = couple avec enfants vivant au foyer et célibataire avec enfants résidant au foyer, n=487. Somme des réponses "toujours (15%)" et "plutôt oui (37%)

6 Tableau 7b, filtre Q2 = couple avec enfants vivant au foyer et célibataire avec enfants résidant au foyer, n=487. Somme des réponses "toujours (5%)" et "plutôt oui (28%)

7 Tableau 8b, filtre Q2 = couple avec enfants vivant au foyer et célibataire avec enfants résidant au foyer, n=487. Somme des réponses "toujours (4%)" et "plutôt oui (16%)".

8 Tableau 11b, n=1000. Somme des réponses "toujours (17%)" et "plutôt oui (48%)

9 Tableau 15, n=1000.

10 Tableau 12b, n=1000. Somme des réponses "toujours (7%)" et "généralement (21%)".

11 Tableau 13b, n=1000. Somme des réponses "toujours (7%)" et "généralement (36%)".

12 Tableau 6a, n=1000. Somme des réponses "toujours (27%)" et "généralement (48%)".

13 Tableau 6a, filtré par âge, n=1000. Réponse "toujours

14 Tableau 7a, filtre Personnes ayant des mineurs vivant à la maison ne sélectionnant pas "Sans objet", n= 449. Réponse "toujours

 

 


 

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