UN PARENT SUR TROIS NE SAIT PAS QUELS VACCINS ONT ÉTÉ ADMINISTRÉS À SES ENFANTS ADOLESCENTS

Enquête : à partir du secondaire, la connaissance du statut vaccinal diminue

Près de la moitié des parents de notre pays s’interrogent sur le bien-être mental et psychique de leurs adolescents. Outre les résultats scolaires et les fréquentations, les parents s’inquiètent souvent de la santé physique de leurs enfants. Pour 1 personne sur 10, il s’agit de leur principale préoccupation. C’est ce que révèle une nouvelle étude menée auprès de plus de 1 000 parents belges de jeunes âgés de 14 à 18 ans. Fait positif, 4 parents sur 10 parlent à leurs adolescents de leur santé au moins une fois par semaine, même s’ils ne sont pas malades. Un peu plus de la moitié d’entre eux recherchent même régulièrement des informations sur la santé via docteur Google ou des sites web spécialisés. Mais malgré l’attention portée à la santé, les parents ne sont pas bien informés des vaccins que leurs adolescents ont déjà reçus ou ne connaissent pas les symptômes de maladies dangereuses comme la méningite.

Une enquête belge commandée par la firme pharmaceutique Pfizer et menée auprès de plus de 1 000 parents d’adolescents âgés de 14 à 18 ans a examiné dans quelle mesure les parents se préoccupent de la santé de leurs enfants. Les jeunes enfants sont suivis par un médecin généraliste, un pédiatre ou l’Office de la Naissance et de l’Enfance (ONE). Chez les adolescents, c’est moins évident. Des recherches récentes montrent que près d’un parent sur trois s’inquiète de la santé physique de son adolescent. Et même si 85 % des parents estiment que leur enfant est en bonne voire en très bonne santé, ils souhaiteraient être davantage et mieux informés sur les risques pour la santé et les traitements possibles.

Le médecin généraliste comme principale source d’information

Lorsqu’ils ont des questions sur la santé, les parents préfèrent s’adresser à leur médecin généraliste pour obtenir des réponses. Pas moins de 7 personnes sur 10 considèrent leur médecin généraliste comme leur principale source d’information, en raison de la bonne relation qu’ils entretiennent avec lui. Pas moins de 65 % d’entre eux donnent d’ailleurs à leur propre médecin généraliste une note de 8 sur 10 en termes de satisfaction générale. En outre, les parents recherchent régulièrement des informations sur Internet ou sur des sites spécifiques consacrés à la santé, ou se rendent chez le pharmacien.

Les jeunes eux-mêmes se préoccupent moins de leur propre santé physique. Selon un peu plus de la moitié des parents, leur enfant ne s’en inquiète que rarement, voire jamais. Et c’est encore plus le cas pour les garçons que pour les filles.

Mais la santé physique est bel et bien évoquée à la maison, même lorsque les enfants ne sont pas malades. Comme ce sont surtout les parents qui sont concernés, ils prennent l’initiative d’une telle conversation dans 73 % des cas. Quatre personnes sur dix en parlent au moins une fois par semaine, et 32 % le font au moins une fois par mois.

Plus l’enfant est âgé, moins les parents ont de connaissances sur les vaccins

Lorsque l’enfant est petit, les parents savent généralement avec précision quels vaccins lui ont été administrés. Jusqu’à l’âge de 2,5 ans, ils sont 85 % à affirmer être assez ou très sûrs des vaccinations reçues par leur enfant. Après cela, la connaissance se dégrade remarquablement. Entre 2,5 et 6 ans, 82 % en sont encore sûrs ; entre 7 et 12 ans, ils ne sont plus que 73 %. Après l’âge de 12 ans, les connaissances sur le statut vaccinal s’effondrent. Entre 12 et 14 ans, seuls 63 % des parents savent encore quels vaccins leur enfant a reçus. Ce chiffre chute sous les 60 % chez les adolescents plus âgés.

« Nous avons commandé une enquête à grande échelle et nous sommes étonnés des résultats en ce qui concerne les vaccinations. En raison du Covid, les parents ont été confrontés au choix de vacciner ou non leur adolescent. Ils découvrent maintenant qu’ils ne sont plus bien au courant des vaccins que leur enfant a reçus ou dont il a besoin. 3 parents sur 10 ne sont pas sûrs du statut vaccinal de leur enfant. Il est également à noter qu’ils ne savent pas où le vérifier. 35 % des parents disent rencontrer des difficultés à trouver les bonnes informations à ce sujet. » Annick Mignon, Vaccins Senior Manager Medical Lead BeLux

Cependant, les parents s’intéressent au sujet. Une grande majorité, soit 7 personnes sur 10, dit souhaiter être mieux informé sur les vaccins dont les adolescents ont besoin.

Les symptômes de la méningite sont inconnus

Le mercredi 5 octobre, est la Journée mondiale de lutte contre la méningite. C’est pourquoi, dans le cadre de l’enquête, les parents ont également été interrogés sur leur connaissance de cette maladie.

Il s’avère que la grande majorité connaît bien la méningite. À peine 3 % n’en ont jamais entendu parler. Et environ 3 parents sur 10 connaissent également quelqu’un de leur entourage qui en a été atteint un jour. Mais ils sont néanmoins incapables de répondre à des questions plus spécifiques.

Environ 1 personne sur 3 ignore qu’il existe des formes virales et bactériennes. Et plus de la moitié ne savent pas que les deux formes présentent des symptômes identiques. Sans surprise, les deux tiers n’ont jamais entendu parler de la vaccination contre la méningite chez les adolescents.

« Les jeunes font malheureusement partie d’un groupe cible à risque de contracter une méningite. Ils se réunissent souvent en grands groupes et ont des contacts étroits les uns avec les autres. C’est pourquoi le Conseil Supérieur de la Santé recommande la vaccination contre certaines formes bactériennes de la méningite chez les adolescents. Je conseille aux parents concernés de bien s’informer. Une conversation avec le médecin généraliste me semble être une excellente première étape. » Pr Jan Verbakel, Centre de Médecine générale KU Leuven

Dans notre pays, on estime qu’en moyenne 141 patients atteints de méningite bactérienne sont hospitalisés chaque année, y compris des adolescents. ​
Entre 5 et 10 % des patients décèdent et entre 10 et 20 % souffrent de conséquences à long terme.

 

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